Avec les compliments de la communauté internationale…
Voilà ce que Bachar al-Assad, ses forces de sécurité et ses milices de voyous pourront écrire sur les sacs poubelle dans lesquels ils renvoient à leurs familles les corps des activistes torturés à mort.
Les corps des activistes, mais aussi ceux des membres de leurs familles, même s’ils se sont gardés de toute action comme la jeune Zaynab al-Hosni, 18 ans, enlevée à sa famille afin d’obliger son frère à se rendre. Mohammed al-Hosni a finalement été capturé, mais Zaynab n’a jamais été rendue à ses parents. C’est son cadavre qu’ils ont pu récupérer. Ou plutôt ce qu’il restait d’elle après les monstrueuses tortures qu’elle a subies. Lire la suite